François CHENG
La méditation
"Tout est signe qui demande à être déchiffré"François CHENG médite:
- à l'aube- à la tombée de la nuit
- dans la nuit, quand le sommeil s'interrompt
- dans la journée quand les choses viennent à sa rencontre... debout ou assis ou en marchant...
Il pense au souffle « physique et spirituel » qui le relie aux autres vivants, à la transcendance.
Certaines personnes méditent pour trouver une sérénité mais François CHENG médite pour rechercher l'origine, la Voie de l'ouverture de la Vie qui relie à tous les vivants selon la pensée taoïste.
La suavité des macarons de Pierre HERME
"Ecorché vif", il se décrit ainsi. Il a connu l'exil, les douleurs, la mort mais il rentre facilement en empathie avec le fond de l'être de tout ce qui est.
Au détour d'une conversation, il va se souvenir d'un « cornet rempli de crème pâtissière » dégusté, en Chine, dans son enfance, moment de ravissement d'une pâtisserie occidentale.
Et puis Il faut l'entendre, l'écouter parler des macarons de Pierre HERME. Vient alors, l'éloge du macaron ISPAHAN au parfum de litchi. Star de la maison Pierre HERME. Le macaron lui-même est parfumé de rose. Teinte pastel invitante, une fois entre les dents, une succession de fragrances qui se répondent les unes les autres, sans que le goût sucré vienne le gâter. C'est comme un tableau de Matisse....
Il aime aussi les vins de Touraine, en particulier le Chinon.
Quand on mange un fruit, on devrait se confondre en gratitude, en reconnaissance.
L'art de la saveur est commun aux peuples chinois et français.
à écouter sans modération :
https://www.youtube.com/watch?v=D1mp1e0tDVM
Au détour d'une conversation, il va se souvenir d'un « cornet rempli de crème pâtissière » dégusté, en Chine, dans son enfance, moment de ravissement d'une pâtisserie occidentale.
Et puis Il faut l'entendre, l'écouter parler des macarons de Pierre HERME. Vient alors, l'éloge du macaron ISPAHAN au parfum de litchi. Star de la maison Pierre HERME. Le macaron lui-même est parfumé de rose. Teinte pastel invitante, une fois entre les dents, une succession de fragrances qui se répondent les unes les autres, sans que le goût sucré vienne le gâter. C'est comme un tableau de Matisse....
Il aime aussi les vins de Touraine, en particulier le Chinon.
Quand on mange un fruit, on devrait se confondre en gratitude, en reconnaissance.
L'art de la saveur est commun aux peuples chinois et français.
à écouter sans modération :
https://www.youtube.com/watch?v=D1mp1e0tDVM
sur France culture
La voix de François CHENG nous emporte et nous invite à nous souvenir que
"la beauté nous rend meilleurs".
"La Beauté apprend à aimer"
L'Amour, l'Amitié
L'âme."Les âmes perdues seront
étoiles filantes. Les âmes aimantes, elles, seront aimantes et
aimantées, elles formeront une constellation."
L'amour : "Noble
amitié, noble amour. Heureux ceux qui connaissent les deux en même
temps. Si l'amour enseigne le don total et le total désir d'adoration,
l'amitié, elle, initie au dialogue à cœur ouvert. "
La mort par François Cheng
est une possibilité de renaître autrement.Fruit
Ame
Le vrai fruit de chaque vie est son âme. On a intérêt à réhabiliter l'âme.
Les traditions chinoises et occidentales grecque et judéo-chrétienne affirment le mouvement dialectique du jeu de trois éléments: le corps, l'esprit et l'âme.
L'esprit peut être altéré suite à une défaillance physique alors que l'âme est la marque indélébile de l'unicité de chacun.
L'esprit régit le langage, la pensée, les relations, la politique....mais l'âme est agissante dans tout lr domaine affectif, artistique et la mystique. Avec l'âme nous entrons en communion avec la transcendance et l'âme de l'univers. L'esprit se meut et l'âme s'émeut.
Le Christ a transformé la mort. L'amour absolu du Christ se manifeste quand il dit sur la croix: "Mon Dieu, Mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonné?"
La terre est un lieu d'initiation à la vraie vie.... sinon la Résurrection n'a pas de sens.
http://www.laprocure.com/cinq-meditations-mort-autrement-dit-vie-francois-cheng/9782226251916.html
François Cheng, de l’Académie française, est à la fois poète (Entre source et nuage, 1990 ; Le Livre du vide médian, 2004), romancier (Le Dit de Tianyi, Prix Femina 1998, L’Eternité n’est pas de trop, 2002, Quand reviennent les âmes errantes, 2012) et essayiste (Cinq méditations sur la beauté, 2006, L’un vers l’autre, 2008). Assise en 2014. Cinq méditations sur la mort 2012.
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